Alors que Toulouse était en tête du classement pendant 5 années consécutives, la ville rose ne fait – cette année – même plus partie du top 3. Mais alors, pourquoi une chute si vertigineuse ? Quels critères nous ont fait perdre la première place ? On vous en dit plus sur la perte de ce titre de meilleure ville étudiante de France décerné par le journal en ligne L’Étudiant.
Toulouse 4e ville étudiante de France
Après avoir été la quintuple gagnante du titre de meilleure ville étudiante de France, on se demande pourquoi Toulouse est dorénavant derrière Montpellier (1ère), Strasbourg (2ème) et Rennes (3ème). Réalisé par le site L’Étudiant, ce classement publié le 21 septembre 2023 se base sur 5 critères : le cadre de vie, l’emploi, l’attractivité, accessibilité et bien évidemment, la vie étudiante.
Pour l’édition 2023-2024 de ce palmarès, la rédaction de l’Etudiant a comparé les 46 villes françaises qui accueillent plus de 8.000 étudiants. Et Toulouse obtient malgré tout 91 points sur 121. Ses points forts ? L’emploi (10/10), l’attractivité (17/20) et la formation (16/20). Par contre, c’est la chute libre du côté de la vie étudiante (18/30) – en sous-catégorie de ce critère l’offre culturelle obtient tout juste la moyenne – et du cadre de vie (29/41) – seulement 4/10 pour la qualité de l’air.
L’analyse du site L’Étudiant
Si elle perd sa place de meilleure ville étudiante, Toulouse garde quand même un certain rayonnement. C’est du moins ce que l’on en tire comme conclusion en lisant l’analyse du site internet spécialisé L’Étudiant :
“Décrite comme « chaleureuse » par ses étudiants, la Ville rose séduit par ses couleurs et son architecture. L’accessibilité, notamment le réseau de transports en commun (dont un métro jusqu’à 3h du matin), est aussi appréciée. Pour celles et ceux qui préfèrent pédaler, Toulouse dispose aussi de 1.462 km de pistes cyclables.
Un pass culture est également proposé aux étudiants, ainsi que la mise en place de concerts gratuits. L’offre de formations est dense et variée, avec un large éventail d’écoles d’ingénieurs et, au total, 2.230 formations dans l’aire urbaine”.
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